16/10/2017
Difficile, lorsqu'on tient un blog, de ne pas être tenté de réagir à chaud à certains événements. Je m'autoriserai donc à le faire ponctuellement, comme aujourd'hui, en ajoutant le tag #tribune au titre de l'article, pour différencier ces billets du contenu du livre.
04/10/2017
Je posterai désormais en commentaire de mes billets les infos qui justifient probablement une mise à jour de la version finale du texte.
29/09/2017
Je réfléchis de plus en plus à la
manière de gérer l'écriture de ce livre comme une petite
entreprise. Ma situation personnelle ne me permet pas d'y consacrer
beaucoup de temps, à moins de parvenir à financer l'opération
d'une manière ou d'une autre. L'idée de lancer un campagne de
crowdfunding m'est venue à l'esprit, mais je me vois mal,
s'agissant d'écrire un livre sur la révolution Bitcoin, passer par
une plateforme centralisée.
Je mesure un peu mieux la somme de
travail qui m'attend. Une quarantaine de pages sont écrites. J'ai
déjà prévu le thème des dix prochains billets, et je ne n'aurai
pas couvert la moitié des angles que je souhaite aborder lorsque
j'en aurai écris dix de plus. J'imagine qu'il me faudra au moins 300
pages de mieux pour parachever correctement mon ouvrage.
J'envisage d'organiser un certain
nombre d'entretiens (en direct, par téléphone, par Skype ou par
e-mail) avec des acteurs clés de l'aventure des crypto-monnaies,
afin de ne pas m'appuyer que sur des sources d'information
indirectes : avec des core developers du système
Bitcoin, notamment, dont certains sont Français. Je ne devrais pas
avoir trop de difficultés à les identifier. Si l'un d'entre eux se
perd sur cette page, qu'il n'hésite à me contacter
(philippeastor@free.fr).
Je n'imagine pas non plus boucler ce
que je veux écrire sur la blockchain Ethereum sans parvenir à
échanger un minimum avec son créateur russe Vitalik Buterin. Je
n'ai pas encore établi la liste de mes interlocuteurs potentiels,
qui s'allonge chaque jour dans mon esprit. Le premier qui me
recommande d'interviewer Satoshi Nakamoto est viré.
Je conçois de plus en plus que ce livre
puisse servir de trame à un documentaire audiovisuel, que je
n'envisage pas de réaliser moi-même, mais dont je souhaiterais
accompagner la réalisation. Une fois que je verrai où tout cela me mène, je pourrai commencer à écrire un projet de synopsis. Mais
c'est quand même mettre un peu la charrue avant les bœufs que d'y
songer déjà.
Comme l'écriture de ce livre se
transforme en petite entreprise, je me prends à réfléchir au moyen
de financer mon activité, comme celle d'autres auteurs, à travers
une ICO sur Ethereum. Quel pourrait être le mode d'incitation ?
Le rôle des jetons émis dans l'économie de cette entreprise ?
Le mécanisme de valorisation de ces jetons ? Le statut de cette
DAPO (Distributed Autonomous Publishing Organisation, ou
Organisation d'édition autonome et distribuée) ? Son modèle
économique ?
L'objectif de cette DAPO serait de
financer, en amont, tout le travail de préparation et d'écriture
d'ouvrages (essais, enquêtes d'investigation, ouvrages de
prospective, etc.), dont une part des revenus d'exploitation
viendrait ré-abonder ses capacités de financement, chaque détenteur
de jetons ayant un droit de vote proportionnel à la taille de son
portefeuille pour la sélection des projets financés. Je serais
heureux de partager mes réflexions sur le sujet avec les personnes
intéressées, en particulier des codeurs (philippeastor@free.fr).
Je n'ai pas encore réfléchi à la
publication de mon livre. Il se peut que je cherche, une fois son
écriture bien avancée, à convaincre des éditeurs que ma démarche
publique ne déconcerte pas de la prendre en charge. A moins que
je n'opte pour une forme ou une autre d'auto-publication. J'ai déjà
songé à plusieurs personnes que j'aimerais solliciter pour écrire
une préface.
Prochain billet la semaine prochaine.
Angle choisi : « La monnaie du darknet ».
Vous pouvez déjà vous rendre compte de ce que donnent les 40
premières pages du livre et les lire d'une traite en téléchargeant
ce fichier
PDF. Elles ont déjà fait l'objet de plusieurs relectures et
corrections depuis leur publication sous forme de billets sur ce
blog, mais ne constituent pas un bon à tirer définitif. Je sculpte
toujours mes textes jusqu'à la dernière minute.
19/09/2017
Un petit point sur les statistiques de la première semaine de publication. Le blog atteint 1200 pages vues aujourd'hui. C'est déjà pas mal et très peu en même temps. Il n'y a pas vraiment d'enseignement à en tirer. Je ne cherche pas à attirer une large audience. La publication au fil de l'eau des pages que j'écris sur ce blog me fixe un certain nombre de contraintes que je juge salutaires et que je détaille dans mon avant-propos. Je serai plus sensible à la qualité de mon lectorat (et à son éventuelle interaction critique) qu'à sa quantité.
Je suis assez heureux de constater que si l'essentiel de mon lectorat est français (900 pages vues), mes publications touchent un public relativement cosmopolite, avec près de 100 pages vues aux Etats-Unis, et quelques dizaines au Canada (88), en Ukraine (61) ou en Pologne (43). J'ai aussi quelques lecteurs en Irlande, en Allemagne, au Portugal, en Belgique, voire en Colombie. Je ne m'y attendais pas du tout.
Pour la publication des premiers billets, j'ai pu m'appuyer sur le travail d'écriture déjà réalisé à temps perdu en amont, au cours des derniers mois. Je devrai partir d'une feuille blanche pour les billets suivants, qui vont me demander beaucoup plus de travail : d'épluchage de ma documentation, de recherche d'informations complémentaires, et d'écriture. Sans compter que rester à jour de l'actualité de ce secteur en pleine ébullition exige un gros travail de veille. Je m'oriente donc désormais vers un rythme de publication de un à deux billets par semaine.
Vous pouvez suivre en partie mon travail de veille sur mon compte twitter @fintechrev, plus généralement orienté à l'origine vers les "fintech", et que je recentre désormais sur les cryptos et les technologies de blockchain.
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